Un stage supplémentaire avant l’arrivée sur le marché du travail
« Mon stage de deuxième année n’ayant duré que 3 semaines, je trouvais important d’avoir plus d’expérience pour ne pas arriver sur le marché du travail avec un CV trop léger. J’ai directement fait ma demande de césure après avoir trouvé un stage de 6 mois en tant qu’assistant ingénieur qualité au sein d’une entreprise de vente de vêtements.
Je pense que mon stage reflète bien le quotidien d’un ingénieur. Contrairement au PFE (projet de fin d’études), je ne mène pas réellement de projet. Associé au service Qualité, je m’occupe principalement du suivi de la qualité dans le développement et dans la production des produits. Si je rencontre des problèmes ou si je constate que des améliorations sont possibles, je peux en parallèle de mes missions travailler sur ces projets annexes.
Bien que mon objectif soit de travailler dans l’aéronautique, cette expérience dans l’habillement reste tout de même très formatrice et donc bénéfique.
J’ai pu agrandir mon réseau, mettre en pratique les compétences et connaissances acquises jusqu’à présent et affiner mon projet professionnel »
Des projets humanitaires à l’étranger
« Comme pour beaucoup d’étudiants, mon rêve de semestre à l’étranger a pris une tournure différente à cause de la situation sanitaire. Je veux donc, dans la mesure du possible, essayer de partir à l’étranger dans le cadre de ma césure. Je suis en contact avec des associations humanitaires à l’étranger. Il est difficile de se projeter mais je serais possiblement amené à faire du bénévolat à Madagascar. »
« En parallèle, je recherche des stages en France afin de pouvoir rebondir dans le cas où partir à l’étranger serait impossible. »